De plus en plus, nous utilisons les tablettes numériques. Elles sont accessibles et presqu’utilisables partout grâce à des supports pour tablette dédiés. Cependant il en existe, de plus en plus, qui fonctionnent avec le système Android et beaucoup d’utilisateurs se demandent encore s’il faut absolument avoir un antivirus sur ce système. Avant de répondre à cette préoccupation, tentons de comprendre d’abord ce que c’est qu’un virus et le pourquoi de l’action des pirates informatiques.

Tout comme beaucoup parmi vous, je me suis plusieurs fois posé la question sur la nécessité de créer des virus afin d’attaquer des systèmes. Aujourd’hui, presque tout le monde peut clairement répondre à cette question.

• causer des dommages
• faire parler d’eux (les pirates)
• se faire de l’argent.

De Windows à Linux, en passant par Mac, Android, IOS, Symbian…tous ces supports ont des virus particuliers et le système le plus ciblé par les pirates demeure, à ce jour, Microsoft Windows en raison de son utilisation massive par les particuliers.

Alors quid d’Android ?

Alors, si la démocratisation d’un système d’exploitation le rend vulnérable aux attaques des pirates informatiques, devons-nous craindre pour nos tablettes et téléphones actuels ? La réponse est oui. Les spécialistes en sécurité informatique avaient d’ailleurs prévu une importante attaque des pirates sur les terminaux Android, quelques mois plus tôt. En dépit des efforts déployés pour les contrer, la menace demeure toujours présente.

Quelle protection pour les appareils Android ?

Face à cette menace, des solutions ont donc été créées pour rassurer les utilisateurs en matière de sécurité, notamment Eset.

• Eset scanne chaque application, quelle qu’en soit la provenance.
• Eset comporte une protection internet contre le phishing et les sites internet malveillants
• Eset scanne la carte mémoire et les données internes du téléphone.

Outre ces fonctionnalités, Eset contient un système antivol, de contrôle d’applications, SMS / appels.

Ainsi, Eset assure une protection maximale au système Android, ce qui lui permet de faire face aux actions des pirates qui, à n’en point douter, vont se multiplier au cours des prochains mois.

Zlatan, c’est le caractériel joueur suédois et actuel attaquant vedette du club de la capitale française, PSG. Connu pour ses frasques sur et en dehors des pelouses, le colosse N°10 du PSG sait surtout marquer des buts spectaculaires, c’est un peu sa marque de fabrique. Double buteur face à Guingamp le

week-end dernier, admirateurs comme détracteurs, le géant suédois ne laisse personne indifférent, au point d’être la cible d’un tueur en série suédois. Que s’est-il passé ?

L’histoire de Zlatan aurait pu être autrement. La star planétaire aurait échappé au courroux de Peter Mangs, celui qui est tristement désigné comme le plus célèbre tueur en série suédois, en 2010. Dans les faits, Peter Mangs, aurait plusieurs fois aperçu la star nationale garer sa bagnole dans une zone où le stationnement serait interdit. Psychopathe certes, mais P.Mangs déteste apparemment les hors la loi et les comportements désinvoltes. C’est ainsi, qu’en voyant pour la énième fois l’actuel meilleur joueur suédois se garer un peu n’importe comment dans une rue de Malmöque le scélérat, non armé sur le coup, aurait décidé de retourner chez lui chercher son arme pour en finir une bonne fois pour toute. Mais à son retour, la voiture n’était plus là, Zlatan comme s’il le savait n’a pas trop traîné ce jour-là, dans le coin. Heureusement.

Ces faits sont relatés parP.Mangs, himself, dans sa bibliographie, dans laquelle il aurait déclaré que tuer le joueur de football aurait fait beaucoup de bruit dans les médias, ce qui l’excitait vraisemblablement.

Pour rappel, P.Mangs est actuellement sous les barreaux. Il a été condamné à la prison à vie, en 2013, pour avoir assassiné deux personnes avant de tenter d’en tuer huit autres. Il est originaire de Malmö, un endroit qui n’est autre que la ville natale du ‘‘seigneur’’ Zlatan Ibrahimovic. 

A quelques journées de la fin des championnats nationaux, trois des cinq grands championnats européens ont rendu leur verdict au cours de la semaine dernière. Cependant, le suspense demeure encore total en France et en Espagne.

Bayern, Chelsea et la Juventus déjà champions !

En Italie, Allemagne et Outre-Manche, les champions sont déjà connus, au moins trois journées avant l’apothéose de l’exercice 2014/2015. Il s’agit de la Juventus de Turin, du Bayern de Munich et de Chelsea. Sur le plan comptable, le club turinois en est à son 31^e sacre depuis la création du championnat national, tandis que les bavarois et les blues sont respectivement sacrés pour la 25^e et la 5^e fois de leur histoire, au terme d’une saison spectaculaire.

Chelsea éliminé de la ligue des champions, les deux autres champions pourront rêver du doublé championnat-ligue des champions. Mais pour cela, il faudra d’abord écarter les géants espagnols (Real &Barça) de leur chemin, lors des demi-finales de la LDC.

La France et l’Espagne indécises !

La dernière ligne droite pour le titre de champion en France et en Espagne s’annonce palpitante. Mais le suspense pourrait bien prendre fin dès le week end prochain ou donner encore plus de piquant à la chose, selon les résultats des équipes en course.

En effet, leader avec seulement 3 pions d’avance sur son dauphin Lyonnais, à trois journées de la fin, le PSG n’a plus droit à l’erreur s’il ne souhaite pas se faire souffler le titre dans les ultimes instants de la ligue 1.

En Espagne, le Real et le Barça se rendent presque coup pour coup, à distance. Le week end dernier, après son large succès (0-8) face à la  lanterne rouge de la liga, le Barça espérait un bon résultat du FcSeville face au Real pour se dégager pour de bon le chemin du titre. Mais c’était mal connaitre un C.Ronaldo de gala qui a planté un triplé pour permettre à son équipe de gagner 2-3, et de rester au contact du club catalan. A noter que seulement 2 points séparent les deux clubs. Cependant, le week end prochain s’annonce crucial pour les deux équipes avec la réception de Valence par le Real et la visite de la Real Sociedad au Nou Camp. Affaire à suivre…

La série à succès Game of Thrones a sans nul doute fait émerger des idées dans la tête de Vadim Finkelchtein, promoteur d’un nouveau sport improbable venu tout droit du siècle moyenâgeux : le combat des chevaliers. Explications !

Deux chevaliers, deux armures, deux épées, un combat…voilà de quoi nous rappeler les combats sans merci dans les arènes des gladiateurs des temps reculés, ou du moins c’est la sensation que souhaite faire vivre Vadim Finkelchtein, aux passionnés des sports de combat, à travers le nouveau sport M-1 Medieval. C’est en Russie que cela se passe.

En effet, le M-1 Medieval est, à peu de choses près, la version médiévale du Mixed martial arts (MMA), et qui oppose, sur un ring, deux chevaliers armés d’épées et barricadés chacun derrière une armure, un peu comme ceux que nous avons pris l’habitude de voir dans la série Game Of Thrones. Coups d’épées, coups de pieds, des coups de coudes virils…le premier combat du M1-Medieval s’est déroulé le 10 Avril dernier, à Moscou, entre Evgeniy Bedenko et Ivan Vasiliev. Il a duré trois rounds de trois minutes, offrant aux spectateurs venus nombreux de découvrir ce nouveau sport, une opposition farouche et virile qui a mis du temps à choisir le chevalier vainqueur.

En visionnant la vidéo du combat inaugural du M-1 Medieval, la scène peut nous sembler d’une extrême violence. Toutefois, le promoteur du sport se veut rassurant, quelque part. Durant les combats, des règles similaires à celles du MMA sont à respecter par les deux combattants. Ainsi, certains coups ne sont pas autorisés.

A noter que le M-1 Medieval fait partie des reconstitutions médiévales et autres traditions du moyen âge singulièrement estimées par les peuples situés à l’Est du Vieux Continent, à l’image de la Bataille des Nation.

Voir le combat inaugural ici.

Il est clair que de nos jours, lorsqu’on atteint un certain âge, trouver un homme avec qui s’unir pour le restant de sa vie s’apparente à un véritable parcours du combattant. Et plus une femme est assez intelligente et mieux établie sur le plan professionnel, ses chances de réussir sa vie amoureuse sont quelque peu maigres. Voilà pourquoi !

Le vrai souci ? L’éducation et la libéralisation de la femme.

Les femmes ont toutes connu, quelque part, les rendez-vous manqués, les décevants coups d’un soir, les mecs sympas mais…, les moments de longue solitude…Mais le temps faisant son chemin, les mauvaises expériences ont appris aux femmes à éviter les pertes de temps pour retrouver le bonheur d’une vie à deux. Et pourtant ! 

On se demande alors, c’est quoi le problème ? Pourquoi les choses ne marchent plus comme avant, c’est-à-dire au temps de nos mémés ?

A vrai dire, du temps de nos mémés à la période actuelle, il y’a eu beaucoup de changements ; le phénomène du chômage de masse, la crainte, la chute des croyances et la déchéance morale mais surtout l'éducation et la libération de la femme. Du coup, les priorités des couples ne sont plus les mêmes que quelques décennies plus tôt.

Face à la question de la difficulté d’une femme cultivée à se caser avec homme aussi intelligent que prospère, les explications ne manquent pas à l’appel. Selon un journaliste financier, "si les hommes prospères sortent avec des femmes qui le sont moins, ce n’est pas parce qu’ils veulent que les femmes "soient stupides", mais plutôt parce qu’ils recherchent “quelqu’un qui ait des priorités compatibles avec les leurs".

En termes clairs, plus un homme prospère sur le plan professionnel, il est enclin à vouloir la compagnie d’une femme dont la priorité reste la gestion de la vie de famille et de la maison. Une volonté qui, aujourd’hui, n’épouse pas l’idéal de la femme cultivée pour qui la liberté et l’indépendance sont des éléments importants, dans un couple.

La femme d’aujourd’hui a une vision du couple qui va au-delà des tâches domestiques. Leur attachement à leur carrière professionnelle fait peur aux courtisans. Et plus le temps passe, ces derniers ciblent les filles qui, pour eux, sont moins ‘‘prises de tête’’. La femme intelligente compensera alors cet échec amoureux par une carrière aboutie ; résultat, effet boule de neige garanti.

Toutefois, la situation n’est pas identique pour toutes les femmes. Heureusement, il existe des couples formés d’une paire de personnes aussi géniales qu’intelligentes qui vivent l’amour ‘‘presque’’ parfait.

Alors où se trouve le problème, messieurs ?