• Une journée à oublier !

    Bonjour chers lecteurs. Pour tout avouer, pour un premier article ce n’est vraiment pas la grande forme après une journée complétement ratée hier. Quelle galère !!!

    Déjà la sonnerie du réveil n’était pas là pour arranger les choses. J’ai beau me préparer psychologiquement la veille pour me réveiller avec promptitude le lendemain aux premières instructions de mon meilleur ennemi (le réveil, ah oui !), mais hélas.  Toujours la même routine. C’est plus fort que moi. Et c’était encore plus difficile hier d’autant plus qu’il a plu pendant la nuit.

    Ce matin-là, disons à mon réveil hier, comme d’habitude, j’ai dû m’enrouler longtemps dans ma couette avant de me résoudre à sortir du lit. Mes yeux, l’un après l’autre, s’ouvraient timidement. C’est sûr qu’ils auraient aimé restés encore clos pour quelques moments. Mais manque de bol ! Le boulot oblige. Alors, d’un bond bien senti, me voilà sur mes deux jambes. En route pour le bain ! Le reste vous le savez tous pratiquement. Petit  dej rapide (un des avantages quand on est célibataire), je descends les escaliers de l’immeuble comme une folle et me voilà déjà prête à en découdre avec la petite rue du quartier.

    ‘‘Bonjour Emilie’’, tu sembles  être en retard aujourd’hui, non ?

    Mince encore lui ! Qu’est-ce qu’il a le don de m’agacer, en plus ce ne sont pas les soucis qui manquent ce matin. Sur la défensive ‘‘Euh, oui ! En effet, un peu en retard’’.  Avec un sourire forcé.

    Ça ne te dérange pas que je t’accompagne jusqu’au niveau de la grande voie pour emprunter ton taxi ? Bien sûr que ça me dérange, me disais-je intérieurement. Non, merci ! C’est gentil de ta part. Allez, bonne journée !

    Bah cette ruelle, franchement ce n’est pas la gaieté. Des flaques d’eau, il y en a partout. Et mes chaussures à talons pointus et la jupe que j’avais mise ne me facilitaient pas le jeu de marelle improvisé dans le lequel je m’étais  lancé pour pouvoir contourner ces réserves d’eau boueuse.

    Encore un peu de courage on y presque ! Encore une et voilà. Ouf…enfin, la grande voie. Ah ce froid de canard, vivement que je trouve un taxi ra-pi-de-m…et SPLASH….je n’ai même pas eu le temps de finir mon monologue intérieur qu’un chauffard venait de m’éclabousser. Elle est bien bonne celle-là et comme si j’en avais besoin.

     

    Retour à la case départ, finalement pas de boulot aujourd’hui. Grrrrrrrrr.


  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :